Alice,
une jeune fille de 7 ans et demi, s'amuse
avec son chat dans le salon de sa maison.
Le félin se montrant peu coopératif,
Alice menace de l'expédier de
l'autre côté, dans la maison
du Miroir, maison qu'elle voudrat bien
visiter le salon où tout y est
inversé. Elle grimpe sur la cheminée au dessus de laquelle est accroché le miroir.
C'est alors que la glace commence à
fondre et à se transformer en
gaz at Alice se retrouve aussi tot dans
un monde étrange. Après
avoir exploré les quelques piéces,
elle décide d'aller visiter le
jardin. malheureusmenet plus elle mrchait
vers une colline, plus celle ci s'éloignait.
Las de ne pas atteindre son but, elle
finit par discuter avec les parterres
de fleurs qui lui apprennent qu'une
autre personne se proméne elle
aussi dans le jardin. A peine ces mots
prononcés, que surgit la Reine
rouge. Cette dernière lui apprend
certaines régles de ce monde
et l'emméne jusqu'à un
échiquier géant où
les cases sont toutes séparées
par des ruisseaux. Débute pour
Alice, un long voyage pour arriver à
devenir reine dans cette partie d'échec.
On dit qu'il y a autant de livres de lewis Carroll
dans les foyers anglais que de bible, c'est dire
que l'auteur est un des pilliers de la littérature
enfantine. A l'origine, il ne se prédestinait
pas à la littérature, c'est en fait
à la demande d'une fille d'un de ses amies
qu'il inventa cet Univers. Alice à travers
le miroir est le deuxième livre de Carroll,
après Alice aux pays des merveilles. Malheureusmenet,
la traduction d'Elen Riot sur laquelle s'est basé
Librio est catastrophique: aucun des noms
originaux n'a été gardé.Humpty Dumpty,
l'oeuf si célébre devient ainsi Boumbadaboum,
on en parle plus de non anniversaire mais d'antinversaire.
C'est vraiment dommage car, qu'on le veuille ou
non, l'adaptation par disney est dans la tête
de tout le monde Pour le reste, on peut reprocher
à l'auteur de tirer sur le filon et de pas
trop se creuser la tête: dans Alice aux pays
des merveilles, ona affaire à des cartes
à jouer, ici c'est à des piéces
d'échec. En fait, il faut prendre son oeuvre
qui n'a ni queue ni tête (il faut marcher
à l'envers sinon on recule, les gens apparaissent
et disparaissent aussi vite, Alice est dans un magasin
et une seconde après alice est sur une barque
au milieu de la mer) comme une des première
oeuvre télétubbidélique. Ce
grand n'importe quoi rappelle les écrits
des grands auteurs adeptes de la rogue tel que Burrough
William. On dit que c'est un livre pour enfant mais
c'est exactement comme les télé tubbies
que les fétards matent après avoir
passé toute une nuit à danser sous
ecsta.. Mais là où Burrough échoue,
Carroll réussit parceque il campe son univers
dans celui des enfants.
Ames Perdues Poppy z. Brite, USA, 1992.
J'ai lu, 380pages.
Note:
Nothing est un enfant adopté qui a bien du mal à trouver sa place dans sa famille adoptive. Un soir, il décide de fuguer et d'aller retrouver ses vrais parents. Il découvrira qu'il est l'enfant d'une mortelle et d'un Vampire avec qui il entretiendra des relations très intimes. Sur son chemin, il croisera les LOST SOULS, un groupe de musique dont il est fan et qui se compose de Steve et Ghost. Ce dernier dispose de pouvoirs hérités de sa grand mère, une célébre sorcière et il fera tout pour protéger Steve dont il est amoureux. Mais la rencontre de tous ces personnages ne se passera pas sans heurs et Nothing devra choisir entre sa "famille" de vampire et les êtres humains.
Poppy Z. Brite réussit àmélanger littérature d'horreur et underground. On peut lui reprocher de faire un peu de pédalexploitation (ses héros sont toujours gays) mais qu'importe. Elle écrit bien et on s'attache à ses héros, on souffre pour eux, on bande pour eux. Elle nous compte en paralléle la vie de différents personnages qui finiront tous par se croiser. On se demande parfois quel est le rapport avec l'intrigue principale mais toutes les questions finissent par trouver leurs réponses et c'est ce qui fait la force de ce livre. A ne pas manquer.
Attentat. Amélie Nothomb, 1997
Livre de poche, 153 pages, 23 frcs..
Note:-
Epiphane Otos est laid, très laid. en fait c'est un des hommes les plus laid qu'il soit. ("Quasimodo, c'est moi"). Alors qu'il répond à une annonce pour un casting (cherche homme hideux pour film d'art), il fait la connaissance d'Ethel, jeune comédienne émue par sa hideur qui deviendra sa confidente. Il l'accompagnera lors d'un rendez vous avec une agence de mannequin et à sa grande surprise, ce sera lui qui retiendra l'attention des responsables qui lui feront signer un contrat; l'idée étant que sa laideur fera ressortir encore un peu plus la beauté des autres mannequins. Il deviendra rapidement une star mais celà suffira-t-il à faire tomber Ethel dans ses bras?
C'est le premier livre que je lis d'Amélie Nothomb et certainement le dernier. Soyons franc, la pauvre fille n'a aucun talent littéraire. Sa plume est des plus banales et les quelques idées originales qu'elle a sont très mal exploitées. Alors pourquoi ce succés? Deux raisons: 1- Elle est tout un personnage que les médias aiment inviter sur les plateaux de télévision (chapeau, histoire abracadabrantesque sur sa jeunesse...); 2- Ce sont des livres faciles à lire, vite lu qui plaisent au lecteur lambda. Le pire dans ce livre largement inspiré de Notre Dame de Paris, c'est sa fin pathétique: Epiphane tue Ethel parcequ'il sait qu'il ne l'aura jamais
Baise Moi Virginie Despentes, 1994.
J'ai lu, 249 pages.
Note:-
Le destin de deux nanas mal dans leur peau se croise: l'une, Nadine, fan des films porno est appelé à l'aide par un de ses amis qui vient de tuer un homme; l'autre, Manu, actrice de x, se fait violer . Elle décide de faire payer la société et descend deux mecs don't le responsible de la conditionnelle de son frère. Les choses feront qu'elles se rencontreront et s'en suivra une longue course qu'elles parsemeront de morts. Sans foi ni loi, elles croient pouvoir faire tout ce que bon leur semble même si au fond d'elle, elles savent que tout celà finira mal pour elle.
Baise moi est un des événements littéraires de la fin du 20ième siécle grace notamment à la sortie du film homonyme et du scandal qui l'entoure. Pourtant rien n'est réelement choquant dans ce livre: certes, il y a un gosse de tuer, certes, les morts sont nombreux mais c'est si mal écrit qu'on ne s'appitoie même pas. Et c'est ça le probléme du livre, Despentes n'est pas assez rentré dans les détails. Pas de sang. Pas de sexe. Rien, nada, nothing. tant de bruit pour si peu. Et puis on n'arrive pas à s'attacher aux héroines, on s'en moque. L'une d'elles mourra, la belle affaire, on la regrettera pas mais on ne s'en réjouira pas non plus. Bref, beaucoup de tapages pour rien. Vite lu et vite oublié.
De Bons Présages.
APratchett T./ N. Gaiman, 1975
Ed. J'ai Lu, 440 pages.
Note:
Les forces du bien et du mal ont
décidé que l'heure de
l'apocalypse avait sonné. On
confie au démon Rampa la tache
d'échanger le bébé
d'un diplomate américain par
l'antéchrist. Mais suite à
différents malentendu, il se
trompe et confie l'enfant censé
être à l'origine de la
fin du monde à un jeune couple
qui vit dans la campagne londonienne.
Malgré tout, la machine est lancée:
les quatres cavaliers de l'apocalypse
sont appelés, la descendante
d'une voyante tente d'empêcher
l'apocalypse, aidé en celà
d'un soldat de l'armée des inquisiteurs. Rampa
découvrant qu'il s'est trompé
de bébé, va essayer de
remettre les choses comme il faut, mais
sur sa route, il trouva son vieil ami,
l'ange Aziraphale. Reste à savoir
si le fait que l'antéchrist ait
été élevé
par un couple d'humain tout à
fait normal durant 11 ans n'a pas eu
des conséquences inattendues.
Je crois que je ne suis vraiment
pa sfait pour la SF en littérature.
Neil Gaiman est un grand scénariste
de bd mais si ce livre représente
tout ce qu'il peut faire du côté
des romans, il vaut mieux qu'il se consacre
uniquement aux comics. La course contre
la montre est sympatique, nous offrant
même parfois quelques scénes
dont le comique vous tireront certainement
un sourire. Les deux auteurs ont créé
tout un monde avec sa propre histoire
(on croule littéralement
sous les notes de bas de pages qui nous
racontent les hauts faits de tel ou
tel inquisiteurs). Les deux personnage
sde l'ange Aziraphale et du démon
Rampa sont intéressants: ce sont
deux pions qui se rendent compte de
leur statue et qui finalement savent
que la victoire d'un camp sur l'autre
ne plairait à aucun des deux,
et que donc le bine a besoin du mal
et inversement.Mais le tout baigne dans
le gnangnan avec la scéne finale
qui frise le ridicule avec ce gosse
de 11 ans qui "renvoie dans leurs
chambres" les forces du bien et
du mal qui attendaient l'apocalypse
parceque finalement la vie c'est bien.
Et je m'étendrai pas sur la happy
end nunuche au possible