Comics Made in USA.
Captain America, Xmen et cie...
 ue celui qui n'a jamais lu de Strange me jette la première
pierre (aie!!! o-O). Mensuel mythique des années 80, il accueillit dans ses
pages Spider-man, les Vengeurs, Iron-Man, Daredevil et tant
d'autres.
Qui aurait pu croire qu'un jour ce magazine qui nourrit
toute une génération de jeunes garçons (Strange se vendît jusqu'à
120 000 exemplaires chaque mois) cesserait de paraître, suite
à la décision des éditions Marvel de faire publier par une de leur
filiale, Panini France, leurs propres titres.
En
décembre 1996, tous les titres Sémic
se terminent par ce message: "Marvel,
c'est fini... Le numéro que vous
tenez entre vos mains est le dernier."
Pour des milliers de fans, le monde s'effondrait.
Les éditions Lug, entre temps devenues édition Sémic (abréviation de
Série-Comics), tentérent de relancer Strange avec des héros de
l'autre grande maison d'édition américaine, DC comics
(Batman, Wonder-Woman,....) en mai 1997. Mais malgré la plus grande popularité des héros DC dans l'opinion
publique, Strange nouvelle formule ne rencontra pas le succés escompté et
disparut au bout de 10 numéros sans que l'éditeur n'en dise mots
à ses lecteurs. Semic ne baissa pas le sbras et l'éditeur
profita de la reprise de Batman par Jim Lee
pour lancer un bimestriel consacré à ce perso. Il en fût de même
pour Superman. Mais, une nouvelle fois, l'initiative fût
un échec et Panini France, devenu entre temps indépendante
par rapport à Marvel Comics Group, récupéra
la licence.

Aujourd'hui,
plusieurs sociétés se partagent
le marché des comics: Delcourt
publie en kiosque quelques revues (Spawn, Aspen..)
et Panini sort une dizaine de revues et de nombreux ouvrages
en librairies tous les mois.
Tout celà est bénéfique pour
le lecteur: longtemps absent sur le territoire français, la ligne
Vertigo voit se sprincipaux titres cultes enfin traduits
en français (Sandamn, Preacher,...). Marvel
n'a jamai s été aussi présente en France, reste le cas épineux de
DC comics: deux ans après avoir lancé en fanfare trois
mensuels consacrés aux héros de la firme, Panini se
voit contraint d'en stopper deux faute de ventes. Quand on sait
que l'éditeur a payé très cher la licence, on se dit que ce choix
stratégique n'était pas bon.
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