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Comics
Note:
Histoire: L'histoire se déroule dans un New York alternatif très futuriste: voitures volantes, rayon laser, des néons pleins partout.... Mais malgré tout, les mythes n'ont pas totalement disparu et la jeune étudiante Sophie Bangs décide de consacrer son mémoire de fin d'étude sur Promethea, figure littéraire récurrente qu'elle retrouve dans les poèmes du VIIe siècle, dans les strips , dans les pulps des années 30 et dans les comics-books de l'Age d'Or... A la recherche des différentes incarnations littéraires de ce personnage, elle interview Barbara Shelley, la veuve du dernier dessinateur qui ait dessiné les aventures de Promethea. Mais celle- ci ne lui apprendra rien d'intéressant. Ecoeurée, Sophie décide de retourner chez elle, c'est alors qu'elle se fait attaquer par une créature d'ombre, un esme. Heureusement une femme à la carrure impressionnante la sauve in extremis. Et quelle n'est pas la surprise de Sophie de découvrir que son sauveur n'est autre que Promethea ou plutôt Barbara qui est devenu Promethea. Cette dernière lui explique alors qui est vraiment Promethea: celle-ci est l'esprit de l'imagination qui de temps en temps se projette dans le monde réel et comme Sophie s'est intéréssée à elle, il est plus que probable qu'elle sera la prochaine à accueillir l'esprit.
Barbara demande alors à Sophie d'écrire un poéme en l'honneur de Promethea et lorsque l'esme retrouve nos deux héroines, Sophie se transforme en Promethea et tue facilement la créature. Sophie devenue Promethea devient par là même la cible d'une organisation secréte; le temple, qui lance à ses trousses deux démons mais Brabara griévement blessé n'est pas en mesure de prévenir Sophie. Cette dernière se rend à un concert de Rock pour retrouver son amie en espérant qu'elle pourra l'aider, c'est alors que les deux démons apparaissent.... Critique: Du
très bon comics sans aucun doute. Alan Moore démontre une fois de plus tout son talent: scénario original,
bons dialogues et présence d'une gouine sans que celà puisse être accusé de
"pédalexploitation". Les dessins de JH William III conviennent
parfaitement à cet univers. Par contre, le comics est parfois difficile à comprendre
lors de certains passages.
Note:
Histoire: Dans un univers paralléle au notre, un virus alien a transformé tous les êtres humains, y compris les verions alternatives de nos super héros, en zombies. Ces derniers sont en quête de chair fraiche des rares hommes qui n'ont pas été infectés. Parmi eux, Magnéto, le maitre du magnétisme, tente tant bienq ue mal d'échapper à cette armée de super héros anthropophages. La tâche s'annonce ardue, voire impossible. En effet, comment réussir à vaincre tout seul Captain America, Thor, Spiderman Wolverine et tant d'autres quand leur seul but est de vous manger? Face au manque de nourriture qui se fait cruellement sentir et qui commence à rendre les relations tendues entre zombies, aucune solution ne semble se profiler. C'est alors qu'arrive le Silver Surfer qui vient annoncer que son maitre, Galactus, le dévoreur de monde, va bientôt arriver pour calmer sa faim. Reste à savoir qui, au final , mangera qui. Critique: Marvel Zombies est une oeuvre atypique. Qui aurait pu croire que Marvel puisse laisser un jour un auteur malmener autant ses héros. L'éditeur, pourtant d'habitude si à cheval quant à l'image que ses BD donnent de ses personnages, semble avoir donné entière carte blanche à Robert Kirkman (célébre pour Walking Dead, une histoire déjà de zombies) qui ne s'est pas fait prié pour s'en donner à cœur joie: on découvre ainsi que le si charmant Peter "Spiderman" Parker a dévoré sa femme et sa tante May; et Giant Man n'hésite pas à tuer sa femme pour pouvoir tranquillement dévorer Black Panther seul. Côté gore, là aussi, toutes les limites sont franchies: Captain America se fait scalper, ce qui permettra à Crane Rouge de lui extraire le reste de son cerveau à mains nues.; Giant Man tient captif Black Panther et lui mange un nouveau membre chaque jour... On avait rarement vu ça chez Marvel. Les dessins de Sean Phililips sans être
extraordinaires, collent parfaitement à l'histoire. Le tout donne
une mini série hors normes et bien sympa que tout Zombie (le petit
nom des fans hardcore du Marvel Universe) se doit
de posséder, d'autant plus qu'on peut admirer la reprise de plusieurs
couverture smythiques de marvel version zombie.
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