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Comics
Note:
Histoire: Foxglove est une chanteuse populaire qui tente tant bien que mal à cacher son homosexualité. Elle partage, en effet, sa vie avec Hazel, jeune maman d'un petit Alvie qui supporte de plus en plus mal de devoir passer six mois par an à Los angeles sans la voir.
Niveau dessin, rien à redire: c'est toujours aussi beau, peut être un peu trop pale. On remarque au passage que Mark Buckingham imite à merveille Chris Bachalo dont il a l'habitude d'encrer les dessins. Difficile, en effet, de voir qui dessine quoi et quand. Pourtant, Mark Buckingham dessine plus de la moitié des planches de cette mini série. Niveau scénario, même si on ne peut que saluer la plume de Neil Gaiman, je reste, par contre, assez mitigé quand à l'histoire proprement dite et notamment sa fin beaucoup trop "happy end" à mon goût. Et oui, j'aime voir les gens souffrir gniark g,iark :p
Note:
Histoire: Aux USA, un incendie déclenché par un mutant et qui fait plusieurs victime embrase l'opinion publique contre les mutants. William Metzer, politicien extrémiste, décide de profiter de ce fait divers pour faire parler de lui et de son parti anti-mutant qui trouve une caisse de raisonnance sans précédent avec cette tragédie. Conscient des difficultés qu'auront à traverser les mutants dans un avenir proche, le professeur Charles Xavier décide de s'associer avec l'agent du FBI, Duncan, pour trouver des mutans à qui il apprendra à contrôler leurs pouvoirs. Grace à son aide, le professeur X se fait embaucher comme conseiller d'éducation dans un lycée fréquenté par Scott summer, orphelin dont les talents sont exploités par un voleur, Bobby Drake et Hank McCoy, vedette de l'équipe de foot du lycée, tous trois mutants. Critique: L'origine des célébres X men revue et corrigée par Joe Casey. Autant Spider man: chapter one par John Byrne était indigeste, autant ce X men: Children of the atom est réussi. Joe Casey s'est vraiment surpassé: il encre profondément l'histoire dans un contexte en nous le rappelant sans cesse. Le destin des différents personnages ne finira par se croiser qu'à la fin de ce gros pavet de 144 pages. Le professeur X. est bien différent de celui qu'on a l'habitude de voir. On pourrait le regretter mais d'un autre côté, ça le rend plus intéressant car plus complexe. Comme le dit Starkey, le professeur x n'est pas si different de Magneto. Sa position concernant le conflit Mutants/Humains n'est pas nécessairement la meilleure et on ne peut pas réduire le comics X men à un conflit dans lequel on aurait d'un côté, les gentils qui ont raison et de l'autre les méchants qui ont tord. La mise en image de cette histoire est bien faite: le style de Rude convient parfaitement (c'est même un de ses meilleurs boulots que j'ai vu). J'ai vraiment été agréablement surpris.
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